ARROSAGE EN VAL DE LOIRE
Arrosage automatique ici, l'arroseur intégré par un ou plusieurs asperseurs.
Ce système est de plus en plus utilisé par les jardiniers ou les mairies, pour les pelouses, les massifs de fleurs, etc.... Il permet l'arrosage la nuit.
Dans les campagnes, les agriculteurs ont toujours arrosés leurs prairies, pour les champs, c'est relativement nouveau quelques dizaines d'années. l'Agriculture consomme beaucoup d'eau en puisant dans les, nappes phréatiques du val de Loire.
Depuis le val d’Allier, sur tout le
cours de la Loire, ainsi qu’en Touraine l’accroissement des superficies de
cultures irriguées est constant. Le mode d’irrigation le plus ancien dit :
gravitaire ou de surface est de moins en moins utilisé, il consiste à faire
courir l’eau sur le sol directement en rigoles ou en planches. Depuis quelques
années, l’irrigation se pratique par aspersion. L’eau est pompée dans la
Loire ou directement dans la nappe souterraine, elle est transportée depuis la
vanne, dans des conduites sous pression. Pour les cultures intensives et les
grandes surfaces, des canons à eau et autres gros asperseurs mobiles ont vu le
jour, ils sont automatiques et se déplacent reliés à un enrouleur.
La micro-irrigation, se développe
essentiellement sur les vergers, les vignes, ou autres cultures particulières
le maraîchage par exemple. l’Investissement est élevé, mais
l’installation est économe en eau, en outre elle permet l’apport
d’engrais liquides ou de produits de traitements phytosanitaires. Pour une
production de qualité, le pilotage peut-être automatisé un tensiomètre
mesure dans le sol la dureté de la terre autour des racines, il établit un
bilan hydrique et l’ordinateur déclenche l’arrosage. Plus perfectionnés
encore, certains appareils et autres capteurs de détection de stress du fruit
ou de la plante repèrent le moment précis ou doit arriver le brouillard de
fines gouttelettes d’eau salvatrices. Désormais l’irrigation agricole prend
en compte la limitation des ressources en eau, que ce soit de rivières, ou des
nappes souterraines. Les pesticides, nitrates, etc.... eux continuent toujours
à polluer sans aucune contrainte ni contrepartie.